Why Alternative Cancer Treatment

Ce que l'on ne dit pas sur la radiothérapie...

Un témoignage révélateur

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Le témoignage suivant a été posté, sur un site connu, le 18 janvier 2013, mais retiré (pour des raisons inconnues) à une date ultérieure. Il offre une petite idée des souffrances inattendues qui guettent les personnes qui se soumettent à une "thérapie" dont elles ignorent tous les potentiels dangers et effets soi-disant secondaires (voir la liste plus détaillée ici). (Dans la suite, les noms de personne et de lieu ont été supprimés.)

En janvier 2012, on m’a diagnostiqué à un [Centre régional de lutte contre le cancer] un cancer situé en haut du pharynx, dans le cavum. Les médecins m’ont parlé d’un carcinome pharyngé. Par chance, ce diagnostic a été fait suffisamment tôt, il n’y avait pas de métastases. J’ai donc été traité uniquement par radiothérapie, 35 séances.

Toutefois le traitement n’a pas démarré tout de suite, j’ai dû au préalable me faire retirer 2 dents en mauvais état. Les médecins m’ont expliqué que faute de soigner les dents avant, les rayons aggravent le mal et entrainent une nécrose de la mâchoire, très difficile à enrayer et à soigner.

Suite au traitement, qui a duré 2 mois, j’ai eu une convalescence d’environ 3 mois, puis une reprise de mon travail à temps partiel pendant 3 mois avant de pouvoir reprendre à temps plein. La bonne nouvelle, c’est que je suis guéri, mais il faut attendre 5 ans sans récidive pour prononcer une rémission complète.

La radiothérapie proprement dite est indolore, mais elle entraîne de nombreux effets secondaires dont l’intensité varie selon les personnes. Pour ma part, voilà ce que j’ai vécu pendant le traitement :

  • D’abord une grande fatigue, qui se manifeste au bout de 2 semaines de traitement. J’ai été contraint d’arrêter de travailler pendant 5 mois.
  • Des douleurs de plus en plus importantes dans la gorge, notamment en déglutissant. La morphine m’a permis de calmer ces douleurs et de les supporter. J’en ai pris pendant environ 6 mois, période de sevrage comprise.
  • De fortes sécrétions de glaires, conséquence de la destruction progressive de la tumeur. J’ai utilisé un crachoir pendant au moins 3 mois.
  • Des vomissements pendant plusieurs mois, notamment la nuit, en partie dûs au fait que j’avalais mes glaires. Dès que je me suis mis à les cracher, les vomissements ont fortement diminué.
  • Une gêne pour parler, surtout pendant la période du traitement et les semaines qui ont suivi, à cause du feu dans la gorge. Parler me faisait trop mal. Ceci a complètement disparu.
  • Au bout d’un mois de traitement environ, incapacité de me nourrir, tellement la déglutition était devenue douloureuse, et ce malgré la morphine. On m’a posé une sonde naso-gastrique, un tuyau qui passe par une narine et aboutit dans l’estomac, grâce auquel je me suis nourri et abreuvé pendant 3 mois ½.
  • Des soucis de constipation, conséquence de la prise de morphine.
  • Brûlures de la peau pendant le traitement, un peu comme des coups de soleil. On ne peut rien y faire, il ne faut surtout pas mettre de crème. On peut soigner la peau une fois le traitement terminé, pour ma part j’ai utilisé de la Biafine, qui s’est révélée très efficace.
  • Forte perte de poids, de l’ordre de 20 kg (j’en pesais 88 avant le traitement), et pour l’essentiel c’est de la masse musculaire. La conséquence est une grande fatigue. Dès que possible, il faut absolument se réalimenter correctement, et faire de l’exercice pour se remuscler. Pour ma part je n’ai pu le faire que 5 mois après la fin du traitement.

    Après le traitement, les rayons continuent à agir pendant 6 à 8 mois, avec leur cortège de séquelles dont certaines sont à vie. En quelques mots :
  • Réduction progressive de la production de salive. Les rayons détruisent en partie les glandes salivaires. La perte de salive s’accentue pendant toute cette période des 6 à 8 mois. Ensuite, ça se stabilise, et ça peut revenir en partie. Pour ma part, je ne peux pas dire, je n’en suis qu’à 7 mois après la fin du traitement au moment où je rédige ces lignes.

    Les conséquences sont multiples : obligation de s’abreuver en permanence pour compenser, difficultés pour s’alimenter (notamment les aliments qui contiennent de l’amidon), forte sensibilité aux locaux avec l’air conditionné (l’air y est sec, ce qui accentue le besoin de boire), etc…
  • Autre conséquence de la perte de salive, il faut tous les soirs faire tremper ses dents dans un gel de fluor afin de compenser le manque d’agents anti-bactériens contenus dans la salive. A cet effet, l’hôpital m’a confectionné des gouttières sur mesure en silicone. Je devrai faire ces soins toute ma vie.
  • Perte des poils de barbe sur toute la zone irradiée. A ce jour, rien n’est revenu.
  • Modification du goût. Les papilles sont également touchées par les rayons. Les conséquences pour moi ont été une forte sensibilité au sel (tout me paraissait trop salé), et une perte très sensible du goût sucré. Ça s’est heureusement atténué au bout de quelques semaines.

    J’ai également constaté que je ne peux plus boire de vin, dont l’acidité m’agresse la gorge. D’après les médecins, je ne retrouverai jamais le goût tel qu’il était avant le traitement.
  • De grandes difficultés pour m’alimenter une fois que j’ai pu retirer la sonde. C’est comme si le haut de l’œsophage s’était rétréci, ne laissant passer que des liquides ou des aliments finement hachés.

    De plus, impossible d’enchaîner plusieurs bouchées d’affilée, il fallait que j’attende un peu entre chaque bouchée. Les repas étaient pénibles et interminables. Ça ne s’est amélioré que 2 mois après le retrait de la sonde.
  • Des otites chroniques. Les rayons ont agressé les nerfs auditifs et entrainé de l’otite séreuse. La principale conséquence est une baisse plus ou moins importante de l’audition, avec pour ma part un épisode de surdité à 90% pendant 10 jours. Actuellement, j’estime avoir perdu 30% de mes capacités, et je ne sais pas si ça reviendra complètement.
  • Gêne respiratoire. Je ressens nettement comme un rétrécissement au niveau du débouché des fosses nasales dans le cavum. D’après les médecins, j’ai des croûtes qui se forment à cet endroit, conséquence des rayons. De temps en temps, elles se détachent, et je dois les cracher. Ça devrait s’atténuer avec le temps.
  • Une gestion difficile du sevrage de la morphine. Il faut absolument prendre conscience que la morphine étant une drogue, on devient dépendant. Pour arrêter la morphine, il faut gérer le sevrage de façon très progressive. Pour ma part, ça m’a pris 6 semaines.
  • Des difficultés pour ouvrir la bouche. Les rayons ont touché l’articulation des mâchoires, et l’ont endommagée. J’arrive à ouvrir la bouche, mais beaucoup moins grand qu’avant.

J’espère que cette longue liste n’aura pas trop effrayé ceux qui la découvrent, mais j’ai pensé que ce témoignage pourrait être utile. J’aurais apprécié que les médecins m’expliquent tout ça. Malheureusement, ils se sont contentés du strict minimum, sans rentrer dans les détails. J’ai découvert tous ces désagréments au fur et à mesure du temps.

Voir ici une liste plus détaillée des graves dangers et effets "secondaires" potentiels du traitement du cancer conventionnel. Voir aussi Après un diagnostic de cancer et avant de choisir un traitement (chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie), deux questions fondamentales à poser à vos cancérologues.


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