Le Régime Huile-Protéine du Dr Budwig
Le Dr Johanna Budwig: L’huile de linette, comme aide véritable
contre l’arthrite, l’infarctus, le cancer et autres maladies
Traduction de la première conférence de "Flax Oil as a true aid against arthritis, heart infarction, cancer and other diseases" de Johanna Budwig. Le titre original du livre "Flax Oil as a True Aid” est "Fette als wahre Hilfe gegen Arteriosklerose, Herzinfarkt, Krebs, u. a." c.-à-d. "La graisse comme vraie aide contre l'artériosclérose, l'infarctus cardiaque, le cancer, et autres [maladies]". Dans tout le texte, 'graisse' est à comprendre comme 'corps gras' en général (graisse ou huile).
Cette conférence a été donnée le 2 novembre 1959 au Centre de Conférences de Zurich et, sous la même forme, en d’autres endroits en Suisse. [N.d.T.]
Publié par Healing Cancer Naturally avec autorisation expresse du traducteur.
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MESDAMES ET MESSIEURS
J’aimerais vous dire combien j’apprécie votre venue ici en si grand nombre. Mais d’abord, je dois remercier et exprimer ma gratitude aux organisateurs, la Verein für Volksgesundheit (l’Association pour la Santé Publique), qui, durant leurs longues années de travail de pionnier, souvent sous un harcèlement considérable en rapport avec la clarification de la question des graisses, ont tenu bon. Ils ont gardé la foi malgré le harcèlement, quand la question de la vérité s’est posée, particulièrement concernant la question des graisses.
Je souhaite aussi remercier les nombreux amis ici dans cette salle, qui, pendant les cinq dernières années, ont été des supporters loyaux à la recherche de la vérité, même quand, malgré eux, ils ont été placés au cœur même de la controverse. Cependant, je ne suis pas moins reconnaissante à ceux d’entre vous qui sont ici pour la toute première fois afin d’apprendre quelque chose sur cette question d’une énorme pertinence aujourd’hui —cette simple question à propos des graisses alimentaires. Pourquoi les graisses sont-elles devenues tellement importantes aujourd’hui?
D’un point de vue anatomique, les études ayant observé l’infarctus cardiaque ne révèlent rien d’anormal à l’image sauf de la graisse solide, qui entoure le muscle du cœur, normalement non gras, emprisonnant et perturbant l’action du cœur.
Dans le rhumatisme, le seul facteur qui distingue les muscles malades des muscles sains est de la graisse isolée—clairement un “Non !” à cette substance.
Au Congrès de la Nutrition international à Paris en 1957, 900 délégués experts de pays du monde entier apprirent que les derniers résultats de la recherche à l’Institut de Recherche sur le Cancer de Paris—le seul institut de recherche équipé du plus grand microscope électronique de pointe existant— montraient que la seule substance qui caractérisait les cellules cancéreuses, par opposition aux cellules saines, était de la graisse isolée; la formation de graisses dans le noyau de la cellule, le corps de la cellule et le cytoplasme.
C’était la seule caractéristique distinguant les cellules cancéreuses des cellules saines. Bien sûr, quand on interprète cela, personne n’est encore préparé à reconnaître sa signification. Au lieu de cela, on propose la ligne de conduite suivante :
“Nous devrions maintenant rechercher une graisse isolée similaire dans le noyau et la cellule, chez les reptiles et autres formes de vie inférieures pour établir quel degré de dégénérescence l’homme a atteint….”
En rapport avec cela, j’eus au Congrès de Paris l’occasion de demander : “Pourquoi ne pas étudier le phénomène lui-même?” : la graisse isolée, clairement un “Non !” à cette substance.
Le Président du Comité du Prix Nobel à Stockholm s’était déjà demandé si tout le problème du cancer pourrait être résolu en étudiant ‘des substances lipolytiques’. ‘Lipos’ signifie ‘graisse’. Une substance lipolytique fait que la graisse se dissout à nouveau.
Quand un tissu vivant rejette certaines graisses, le corps les isole—et ceci est le point crucial—et les dépose à des endroits où normalement elles ne sont pas présentes.
Bauer, dont le livre “Das Krebsproblem” (Le problème du cancer) lui a valu une célébrité mondiale, écrivait dans son édition de 1966 “tout indique que les graisses jouent un rôle énorme dans ce problème.” Mais les déclarations “La graisse peut dissoudre les tumeurs” et “La graisse peut causer des tumeurs” sont si contradictoires qu’il n’est pas possible actuellement de tirer de quelconques conclusions valables au profit de la recherche sur le cancer.
C’est pourquoi il n’est pas interdit de croire que la division compétente du Bundesinstitut für Fettforschung (Institut Fédéral pour la Recherche sur les Graisses) a été mis en branle pour commencer à examiner la question plus en détail. Et initialement nous avons confirmé que les preuves concernant les graisses manquaient.
En 1949-50, il n’était pas possible de distinguer les acides gras présents dans les huiles d’olive, de graines de lin et de tournesol. Les spécialistes des graisses présents aujourd’hui dans cette salle le confirmeront.
Les “Kennzahlenmethoden” [méthodes des nombres d’identification] ne donnaient aucune garantie contre des résultats trompeurs. Aucune réaction directe n’était connue, comme celles qui existaient depuis des décennies dans le domaine des protéines ou pour tester les différents sucres.
Ce n’est pas la première fois dans l’histoire de la chimie et de la médecine que la présentation de réactions claires, nouvelles, avantageuses, utilisables et extrêmement sensibles, permettant des preuves concluantes, a ouvert un nouveau terrain à la recherche en général.
Grâce au développement de la chromatographie sur papier dans le domaine des graisses, c’est-à-dire au moyen de nouveaux tests de différentes substances grasses sur papier, que j’ai menés pour la première fois en 1949, sans savoir combien grands seraient leurs effets sur le monde de la médecine, il était possible d’analyser un milligramme de sang au millième degré.
Cela signifiait que la graisse dans une goutte de sang pouvait désormais être décomposée en ses différents constituants et cataloguée précisément par ses divers composants acides gras. Et, pendant ces études, plusieurs articles furent publiés, en fait en rapport avec l’étude de protéines, affirmant ce qui suit :
Le manque absolu de méthodes ou de réactions de détection concluantes pour déterminer des anomalies du métabolisme des graisses chez les êtres humains est très perceptible en médecine en général. Nous ne pouvons, malheureusement, étudier les anomalies du métabolisme des graisses que dans la phase finale, c.-à-d. à la mort du patient. [1949]
L’examen des graisses prélevées dans le sang commença alors et inaugura un formidable nouveau champ de recherche productive qui a été poursuivie intensivement en Amérique, en Angleterre, en Belgique, en Hollande et partout dans le monde.
Un nombre étonnamment haut de corrélations entre maladies fatales et le métabolisme des graisses ont été découvertes. Pour résoudre cela, il était seulement nécessaire de percevoir que ‘la graisse’ n’est pas toujours ‘la graisse’.
Toute la situation fut résumée de manière instructive dans un commentaire fait par un professeur français au Congrès de la Nutrition à Paris. Pendant le congrès, il déclara :
“Pourquoi tout ce bruit autour des graisses? Personne ne voulait rien savoir à leur sujet auparavant—la graisse était une substance huileuse, graisseuse, dont personne ne savait que faire. Et soudain tout le monde en parle maintenant, que l’on soit dans les groupes traitant des carbohydrates, des protéines ou d’autres facteurs métaboliques. Tout le monde est là-dessus!”
La presse parisienne titra “La margarine sur la sellette!”. Deux semaines plus tôt, à Londres, le Daily Express avait écrit : “La graisse dans votre poêle à frire peut être mortelle!”. Une conversation entre un mari et sa femme fut rapportée; LE MARI “Donne-moi ce steak, mais jette la graisse.” LA FEMME “Mais cette graisse me coûte 36¢ !” Le MARI “Ton mari ne vaut-il pas 36¢, pour toi?”
De cette façon, il devint évident que jeter la graisse nuisible, plutôt que de simplement la consommer pour sauver de l’argent, était une bien meilleure idée. C’est le point crucial.
Toutes les graisses sont-elles pareilles? Pourquoi les graisses étaient-elles devenues importantes de façon si pressante à ce moment? Comment se fait-il que les graisses peuvent à la fois causer la formation et aussi la dissolution de tumeurs? Comment se fait-il que les graisses peuvent à la fois causer et prévenir l’infarctus? Qu’y a-t-il de nouveau dans ce domaine?
La réponse à cela, et la recherche exacte en ce qu’est réellement et ce que fait réellement la graisse, n’a été possible que depuis 1950 et elle est instamment nécessaire, en particulier aujourd’hui dans le domaine, d’une part, de la solidification industrielle des graisses et, d’autre part, de l’énorme importance des graisses hautement non saturées, naturelles, riches en électrons, vitales.
Avec votre permission et dans un souci de clarification, je vais donner quelques mots d’introduction explicative sur ce qu’est réellement la graisse [voir éventuellement 'Illustrations' pour des explications complémentaires. {N.d.T.}].
La graisse consiste en glycérine [ou glycérol]. La glycérine a trois ‘bras’. Une chaîne d’acides gras est attachée à chaque bras. Cette chaîne d’acides gras a, par exemple, 4 liaisons vers elle pour le beurre; celle du beurre de coco et d’huile de palme 14 ou 16 liaisons.
Ces graisses saturées d’origine naturelle ne peuvent pas être transformées en énergie par le corps sans la présence d’acides gras essentiels, mais, pour le moment, ce sont celles d' un groupe différent qui jouent un plus grand rôle, en particulier quand il y a un manque fondamental de graisses essentielles, hautement insaturées. Que se passe-t-il? J’y viendrai plus tard!
Qu’est-ce qu’une graisse insaturée? En analysant les substances grasses, nous arrivons aux chaînes d’acides gras avec 18 liens, et pouvons observer que les liaisons ne sont pas, à certains endroits, attachées si fermement l’une à l’autre. La chaîne est fragile, lâche; elle absorbe l’eau facilement—comme si l’on effilochait un fil de soie lisse à un endroit et qu’on le traîne dans l’eau. La partie effilochée absorbe l’eau, ou le colorant, plus facilement.
De la même manière, ces chaînes d’acides gras avec leur connexions faibles, non saturées, forment des associations avec une protéine très facilement. Les acides gras deviennent hydrosolubles grâce à cette association avec une protéine.
Il y a des acides gras insaturés dans, par exemple, l’huile d’olive, qui n’a elle-même qu’une liaison insaturée. Cette graisse n’est pas nuisible, mais ce n’est pas non plus la plus bénéfique dont nous ayons besoin en Europe. Les Russes en Ukraine, dont le régime est différent, tombent dans une autre catégorie. Ce dont nous avons besoin en Europe aujourd’hui, en Allemagne aussi bien qu’en Suisse, en Amérique et en France, ce dont nous avons réellement besoin, ce sont des graisses hautement insaturées.
Au moment où deux doubles liaisons insaturées sont présentes ensemble dans une chaîne d’acide gras, les effets sont multipliés et dans les graisses hautement insaturées, que l’on appelle acides ‘linoléiques’, il y a un champ d’électrons généré, une véritable charge électrique qui peut rapidement être déchargée dans le corps, donc causant une recharge de la substance vivante—spécialement du cerveau et des nerfs.
Pour stabiliser ces graisses, les liaisons insaturées, qui demandent de l’oxygène si activement, sont détruites par des méthodes de traitement industriel. Mais ce sont précisément ces acides gras hautement insaturés qui jouent un rôle décisif dans le fonctionnement respiratoire du corps. Sans ces acides gras, les enzymes dans la respiration ne peuvent pas fonctionner et nous nous asphyxions, même quand on nous donne de l’oxygène en plus, comme par exemple dans les hôpitaux.
Le manque de ces acides gras hautement insaturés paralyse beaucoup de fonctions vitales. Principalement, il coupe l’air que nous respirons. Nous ne pouvons pas survivre sans air ni nourriture, ni ne pouvons survivre sans ces acides gras—cela fut prouvé il y a longtemps.
Maintenant, et j’adresse ces remarques aux directeurs de l’industrie de la solidification des graisses présents aujourd’hui, je regrette de dire qu’on a pas trouvé mieux, depuis 1902, que de commencer à traiter les graisses de sorte à les rendre plus faciles à manier, commercialement vendables, se conservant plus longtemps et devenant rances moins vite, ainsi que pour les rendre plus facilement tartinables, parce qu' apparemment la population dans nos régions climatiques le voulait ainsi.
Ces graisses insaturées ont été chimiquement traitées de sorte que leurs qualités insaturées sont détruites, le champ d’électrons enlevé. Leur aptitude à s’associer avec une protéine et de cette façon à acquérir facilement l’hydrosolubilité dans les fluides du corps vivant—tout cela est détruit. Ces graisses ne sont plus actives au niveau superficiel et capillaire, ce qui signifie qu’elles ne peuvent plus couler dans les capillaires. Médicalement parlant, on dit “le sang doit être fluidifié”.
Les graisses solides qui ne sont pas hydrosolubles et ne peuvent pas s’associer avec une protéine ne sont pas capables de circuler dans les fins réseaux de capillaires. Le sang s’épaissit et des problèmes de circulation apparaissent. Je veux dire ceci, avant de continuer sur les anomalies organiques individuelles et sur l’énorme complexité des effets du métabolisme des graisses sur toutes les fonctions vitales.
Les graisses solidifiées se comportent différemment selon les huiles employées. Quand des huiles naturelles telles que l’huile de colza ou d’olive sont utilisées, mais il est rare de partir de ces substances aujourd’hui, alors la chaîne solidifiée d’acide gras de 18 liaisons est semblable à celle de la graisse de porc, et ce serait le meilleur scénario possible.
Quand on prend de l’huile d’arachide, en utilisant du beurre d’arachide solidifié (vous savez sans doute qu’un tel produit est disponible dans le commerce), c’est bien pire, car les acides gras de l’arachide consistent en 20 liaisons.
La situation est encore pire pour le corps quand on considère l’huile de poisson. Les chaînes d’acides gras dans l’huile de poisson ont 26, 28 ou 30 liaisons, avec de nombreuses liaisons insaturées.
Sous cette forme, le poisson ou l’huile de foie de morue sont idéals pour le corps à cause des nombreuses liaisons insaturées des groupes d’électrons et de leur aptitude à s’associer aux protéines et d’amener la formation de nouvelle substance [cellulaire]. Cela est dû à la dipolarité électrique entre graisse et protéine pendant la croissance des cellules et est indispensable à la régénération de toute substance du corps, chez les adultes aussi.
Les huiles de poisson qui ont été rendues inertes (par rapport à l’oxygène) par la solidification et qui ont eu leurs champs d’électrons détruits ne sont plus capables d’effectuer les réactions indiquées plus haut en prenant part au métabolisme des graisses dans l’organisme vivant.
On n'avait pas reconnu les corrélations entre tout cela et le fait que telles méthodes de préservation ont été utilisées par l'industrie des graisses n’est cependant pas une raison pour lancer des allégations contre cette industrie.
Mais le fait que des scientifiques occupant une position centrale quant à cette recherche et qui sont au courant de ces connexions croient qu’ils peuvent éliminer cette vérité en tentant de supprimer la continuation de ce travail scientifique, cela, en effet, est une cause de récrimination.
Cependant, mon sentiment de satisfaction en rapport avec cela est bien plus grand que cette dernière—un sentiment de satisfaction parce que, quoi qu’il en soit, le progrès dans la direction scientifique que je viens de mentionner a été exemplaire durant les neuf dernières années.
Je suis satisfaite parce que c’est une vérité de grande importance pour l’humanité et une vérité pour la défense de laquelle il y a des gens prêts à faire des sacrifices, à tenir tête et sur qui on peut compter. Cette vérité, cependant, on est en train de l'étouffer par le pouvoir de l’argent et autres moyens de pression bien installés. Mais cette vérité prévaudra et ne peut plus être niée. Elle peut être résumée très simplement en deux points.
Le métabolisme des graisses a un effet tellement étendu sur les fonctions vitales et chaque organe individuel—tout simplement sur la vie elle-même, y compris sur la génération de nouvelle vie, que le manque de graisses insaturées n’est plus acceptable.
Les méthodes bien intentionnées de traitement des graisses pour leur donner une durée de conservation plus longue, mais qui détruisent leurs acides gras, doivent être changées.
Le métabolisme des graisses affecte tous les organes. Tout patient ayant des problèmes de foie ou de vésicule biliaire est parfaitement conscient de l’effet que lui font les graisses. Le traitement médical prescrit de consommer de moindres quantités de graisse parce qu’on a observé que le patient ne peut pas la digérer.
Cependant, si on lui donne les graisses bénéfiques telles que je viens de les définir dans mon résumé, c’est-à-dire des graisses hautement insaturées, alors il n’a plus de troubles digestifs du tout.
Le mieux est d’utiliser les graisses tri-insaturées préparées à partir de l’huile de graines de lin, ensemble avec la substance qui les dissout facilement, et c’est le fromage blanc maigre.
Pas mal de gens hautement formés et éduqués sont consternés et irrités du fait que des états physiques médicalement sévères peuvent être guéris par du fromage blanc et de l’huile de graines de lin. L’organe malade n’est en aucune façon lésé par ces substances.
Il n’y a qu’un autre point important à observer. Les méthodes usuelles de conservation des aliments sont basées sur l’addition de substances inhibant l’‘oxydation’, qui rendent inertes ce processus lui-même, le processus de combustion dans les aliments.
La majorité des conservateurs peuvent être étiquetés comme des poisons respiratoires en cela que leur effet est de bloquer la combustion de la graisse—son interaction continue avec l’oxygène.
Quand, dans une situation telle que décrite, nous fournissons des graisses activant la respiration et empêchons l’ingestion de conservateurs, qui sont des poisons respiratoires, alors de nombreux patients donnés comme cas désespérés par beaucoup de cliniques, retrouveront leur santé.
Il y a quelques jours, lors d’une conférence à Meilen, je fus ravie quand, après la conférence, une personne de l’assistance se leva—quelqu’un que je n’avais ni encouragé ni même vu, ni à qui j’avais parlé précédemment—et dont le mari avait une tumeur au poumon et dont la fille avait un cas désespéré de psoriasis et de dégénérescence de la substance du cartilage des articulations, et avait été déclarée incurable par plusieurs cliniques.
Il n’y avait rien à faire sinon la garder au lit avec les soins usuels. Le fils de la famille aussi avait plusieurs problèmes de santé mineurs. Cette femme, une épouse et une mère, se leva et déclara que tous avaient recouvré la santé après avoir changé leur alimentation pour y inclure les huiles et protéines que je recommande.
C’est plutôt bizarre pour vous d’avoir à croire cela, et il est très difficile pour moi d’avoir à inclure l'explication de tout le système complexe qui est affecté par le métabolisme des graisses, et que j’appelle ‘le syndrome des graisses’, et ses connexions réelles avec le métabolisme des graisses—et tout cela en 20 minutes! Mais je voudrais essayer de l’expliquer en style télégraphique. Ceux d’entre vous qui désirent en savoir plus trouveront de la littérature disponible à ce sujet.
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